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ma vie et mon parcours professionnel

Mon histoire

Premier d’une famille de trois garçons, d’une famille simple et sans histoire, j’ai grandi en prenant soin des plus petits que moi. Sensible et déjà sérieux, je fis mon entrée à l’école plein d’espoir et d’appréhension…

Un premier amour pas très partagé

Un véritable coup de foudre à mon entrée à la maternelle marqua ma vie à tout jamais. Malgré mon jeune âge, mon objectif ultime devint d’être avec la belle Amélie. Malheureusement, elle n’était pas du même avis.

Commença alors ma quête afin de devenir l’homme parfait, le seul et l’unique qu’elle voudrait pour compagnon. Les années passèrent, Amélie restait distante bien qu’amicale, je me retrouvai au secondaire avec une confiance en moi à zéro. Ressentir le rejet des autres faisait maintenant partie de mon quotidien.

Perte de confiance

Un changement d’école me sépara de la belle Amélie en secondaire 3. Reprenant ma vie en main, je me suis risqué à faire part de mon intérêt à une collègue de classe. Le tact et la mesure n’étant pas des qualités des adolescents, elle me fit violemment comprendre en une phrase sa pensée : « Une fille comme moi ne pourra jamais être avec un gars comme toi! »  Ma confiance venait de prendre une débarque monumentale.

Une rencontre inspirante

À cause de ces échecs répétés, j’avais enregistré que j’étais laid et indésirable. Pour ne pas être contraint à une vie de solitude, je devais trouver une clef pour séduire qui dépasserait les standards de beauté et les conventions sociales. Je devais sortir du cadre, modifier la réalité. J’ai cherché du côté de la psychologie pour commencer. J’ai eu beau suivre des cours et lire une multitude de livres, cette approche me ramenait toujours à une certaine norme et non pas à dépasser ce qui est convenu. Une rencontre incroyable mit fin à mon égarement en la personne de Marc Lacoursière, un enseignant de philosophie. 

Je me rappellerai toujours son premier cours : du haut d’une chaise sur laquelle il était monté, il nous illustra que la philosophie nous permettait de changer de point de vue et de sortir du cadre pour ainsi pouvoir le transformer. Il mettait en mot ce à quoi tout mon être aspirait à réaliser pour atteindre le bonheur! C’est ainsi que je m’inscrivis au baccalauréat en philosophie…

Besoin de gagner ma vie

Je terminai mes études dans les temps prescrits, mais plutôt épuisé. Ceci s’expliquant entre autres par une réalité que je venais de découvrir : j’étais dyslexique. Je n’étais pas prêt à me tourner vers l’enseignement, j’avais peur de mal écrire des mots au tableau ou en corrigeant les copies… La maîtrise devrait attendre, car j’étais maintenant père monoparental et le besoin de gagner nos vies était plus réel et pressant.  

Parmi des emplois divers, je complétai un DEP en boucherie et un AEC en agriculture. L’agriculture est une passion qui m’a tout le temps suivi ! Je travaillai comme boucher et ensuite dans des entreprises agricoles.  Comme partout dans nos vies, il y a toujours des situations qui posent des problèmes. Dans ces cas, il m’arrivait de donner mon point de vue et de proposer des résolutions logiques et efficaces. J’étais reconnu pour comprendre et améliorer les choses.

À force de me démarquer dans une multitude de situations, j’ai réalisé qu’en fait, je faisais de la philosophie pratique. C’était ma formation première qui me permettait de percevoir les situations différemment et d’ainsi avancer autrement vers des solutions.

Vers la maîtrise

J’en voulais plus, je voulais aller plus loin dans cette capacité de compréhension : j’étais prêt pour la maîtrise en philosophie. 

Parallèlement à ce cheminement professionnel, je cherchais à me développer personnellement. La recherche de l’amour et l’importance de la séduction, non seulement amoureuse, mais aussi la nécessité de plaire aux personnes que je rencontrais, occupaient une grande part de mes pensées.

 Mon mémoire de maîtrise avait comme sujet le concept de la volonté de puissance. Ceci résonnait particulièrement pour moi. Nourri de ces réflexions et toujours avec le désir que mon travail intellectuel serve à quelque chose, j’ai développé une formation et écrit un livre sur l’art de la séduction qui s’appliquait autant en amour qu’en affaires.

 Une association d’affaires avec Francis Pelletier, médecin, poète, artiste visuel et éditeur me permit de me développer comme philosophe praticien, conférencier, coach personnel et maître-vendeur pour la maison d’édition de Francis, « Les Pelleteurs de Nuages ». La séduction par le développement de notre plein potentiel était alors mon angle d’approche. Mes excellents résultats en vente et la réussite de mon approche séduction me confortaient dans le fait que j’étais sur la bonne voie. La maîtrise n’était pas que sur papier, elle était dans mon développement d’affaires aussi !

 La vie m’offrit alors à ce moment une occasion unique de guérison. Lors d’un événement public auquel je participais, une très jolie femme m’aborda avec un grand sourire. La conversation était facile et sympathique. Elle s’avança un peu plus et me partagea son intérêt à me revoir dans un autre contexte. Je lui dis alors que je ne pouvais vraiment pas. Elle me demanda pourquoi et je lui répondis qu’elle avait déjà été très claire, il y avait quelques années de cela, qu’une fille comme elle ne serait jamais avec un garçon comme moi…

Elle ne m’avait pas reconnu, mais moi si… l’échange qui suivi fût très émotif et avec ses excuses, mon besoin souffrant de plaire s’envola en fumée. Je compris que j’avais grandi, que j’étais ailleurs dans ma vie.

 

La naissance du coach de vente

De fil en aiguille, des rencontres et des opportunités se présentaient à moi. Je dois à madame Sylvie Lesieur, la réalisation de mon potentiel en tant que vendeur. Elle me dit que mon approche brisait toutes les idées préconçues que nous pouvions avoir sur les vendeurs et qu’elle voudrait travailler avec moi n’importe quand.

Je réalisai un autre développement comme philosophe praticien : faire de la vente une expérience humaine agréable, relationnelle et pleine de sens. Fort de cette expérience, j’accompagne les entrepreneurs et les professionnels dans l’amélioration de leurs ventes et de leur expérience client depuis 15 ans.

Un paradoxe caché

Aux différentes cordes de mon arc, avec le temps, j’ai ajouté celle de représentant en épargne collective. La vente m’a mené dans le milieu des finances par des associations d’affaires. Je n’étais pas un conseiller comme les autres : j’ai toujours développé une relation de proximité avec mes clients. Leurs placements, leurs épargnes n’étaient rien s’ils n’avaient pas de projet réaliste à exécuter. L’argent est un moyen et non pas une fin, mais il y a plein de pièges à éviter et de fausses conceptions à démystifier.

J’aimais voir mes clients rétablir leur situation financière, atteindre leurs objectifs, rêver, aller plus loin… Les gens se confiaient naturellement à moi sur plein d’enjeux de leur vie. Parce que se mettre en mouvement dans notre vie, nous change et crée de la nouveauté sur tous les plans. 

Et la pandémie arriva… Le confinement et l’impossibilité de rencontrer les gens en personne furent déterminants pour moi. Je m’étais aménagé un beau bureau à la maison et comme d’autres j’ai goûté à plein d’avantages à moins courir et à être plus là pour ma famille. Ce ralentissement d’activités (et la quarantaine !) et le monde qui chavirait m’obligèrent à une introspection sincère.

Je regardai ma vie et mon parcours professionnel, ma quête d’identité et je découvris un paradoxe intéressant : ce qui était au coeur de mon activité, de mon travail, mon moteur d’action restait caché : ce que j’offrais aux autres, je ne l’assumais pas pleinement. Je n’arrivais pas à me définir : coach, vendeur, boucher, agriculteur, père, mari, séducteur, conseiller. Je réalisai que le fil conducteur de tout cela était la philosophie. Sous toutes ces formes de travail, d’aide, de relation, ce que je faisais toujours était d’appliquer la méthode philosophique. Je prenais de multiples identités parce que j’avais peur de faire fuir les gens en utilisant le mot philosophe.

La découverte du plein potentiel de mon approche

Me voilà maintenant, prêt à nommer ouvertement que je suis un philosophe praticien et que c’est cette méthode qui fonde mon approche que j’ai testée et retestée. Il n’y a rien de conventionnel dans ce que je fais. Il peut être difficile de l’expliquer, mais c’est avant tout une expérience qui se vit et qui donne des résultats !

L’accompagnement personnel ou d’affaires que j’offre est unique et efficace.

 

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